HISTOIRE
2022, une édition fastueuse
L’édition 2022 du FASS fut fastueuse, avec la présentation de neuf spectacles excitants sous le Grand Chapiteau, le retour des Sentiers de la danse au parc John-H.-Molson, la tenue du festival international du film de danse FASS Forward dans un amphithéâtre mieux adapté, un FASS Dance Battle survolté avec Crazy Smooth au skatepark, des spectacles gratuits en plein air sur la scène extérieure Desjardins-McGarrigle et le FASSART, une exposition d’œuvres d’art inspirées par le mouvement, à la magnifique Galerie Rod.
L’émotion était palpable de part et d’autre de la scène, les artistes étant aussi heureux et reconnaissants que le public de se retrouver enfin.
2022, une édition fastueuse
L’édition 2022 du FASS fut fastueuse, avec la présentation de neuf spectacles excitants sous le Grand Chapiteau, le retour des Sentiers de la danse au parc John-H.-Molson, la tenue du festival international du film de danse FASS Forward dans un amphithéâtre mieux adapté, un FASS Dance Battle survolté avec Crazy Smooth au skatepark, des spectacles gratuits en plein air sur la scène extérieure Desjardins-McGarrigle et le FASSART, une exposition d’œuvres d’art inspirées par le mouvement, à la magnifique Galerie Rod.
La Soirée des Étoiles internationales a réuni des danseurs classiques de haut niveau dans un programme époustouflant. Guillaume Côté a dansé aux côtés des superstars Cesar Corrales et Francesca Hayward (Royal Ballet), Sara Mearns et Chun Wai Chan (New York City Ballet), Maude Sabourin (Les Grands Ballets Canadiens), Cassandra Trenary (American Ballet Theatre), Sebastian Vinet et bien d’autres.
Le lendemain, Counterpoint entraînait le public dans une expérience de collaboration unique entre deux virtuoses : le pianiste Conrad Tao et le danseur à claquettes Caleb Teicher, qui a évolué sur un mélange enlevant de musique classique et de jazz.
Venue d’Israël, la Vertigo Dance Company a présenté à Saint-Sauveur une œuvre qui a secoué le monde de la danse : l’éblouissant One. One & One, de la chorégraphe Noa Wertheim. Interprétée sur une scène recouverte de terre, l’œuvre explorait la tension entre l’aspiration à l’indépendance et le désir de rapprochement.
Le soutien à la création artistique étant dans l’ADN du FASS, Anne Plamondon et Virginie Brunelle furent invitées à créer une œuvre chacune que le public de Saint-Sauveur a pu découvrir en primeur au cours d’une même soirée.
Ressuscitant après trois ans de contretemps pandémiques et moultes transformations, une nouvelle incarnation de Crypto de Guillaume Côté était présentée au public qui l’avait vu naître en 2019. Acclamée en tournée au Québec et en Ontario, cette fable sombre qui allie danse classique et contemporaine, théâtre et multimédia, est écrite par le lauréat du prix Pulitzer Royce Vavrek. Elle fut interprétée par quatre danseurs exceptionnels : Guillaume Côté, Greta Hodgkinson, Casia Vengoechea (également contorsionniste) et Natasha Poon Woo.
L’Orchestre Métropolitain et son chef Yannick Nézet-Séguin, dont le talent prodigieux et la personnalité attachante sont appréciés internationalement, nous ont fait vibrer avec un florilège d’œuvres du répertoire classique, qui comprenait notamment la puissante 5e Symphonie de Beethoven.
Les Ballets Jazz Montréal ont proposé un programme poétique mettant en valeur leur extrême polyvalence, signé par trois chorégraphes féminines : Aszure Barton, Ausia Jones et Crystal Pite. C’était la première fois que le FASS présentait une œuvre de cette dernière, considérée comme l’une des plus grandes créatrices de danse au monde, et qui venait de remporter le Prix du Gouverneur général pour les arts du spectacle.
La Malpaso Dance Company a clôturé le festival sur une note cubaine festive et chaleureuse. Combinant la sophistication d’excellents danseurs contemporains à un style de danse enivrant et à des rythmes endiablés, la compagnie a soulevé l’assistance.
2021 : UN 30E ANNIVERSAIRE EN MODE RENAISSANCE
Célébré en 2021 en mode renaissance, notre 30e anniversaire fut marqué par une édition hybride comprenant des spectacles intimes sous un chapiteau réaménagé et à gauge réduite (Face à FASS), des événements numériques (FASS virtuel), des performances et des activités extérieures gratuites (Les Sentiers de la danse et FASS dance battle).
Donnant un coup d’envoi spectaculaire, la soirée d’ouverture a offert une sélection d’œuvres classiques et contemporaines, servies par les talents exceptionnels de Margie Gillis, Sylvain Lafortune et Annik Hamel, Maude Sabourin et Raphaël Bouchard, Rubberband Dance ainsi que des danseurs du Ballet national du Canada : Brendan Saye, Svetlana Lunkina, Jeaninne Haller, Isaac Wright, Calley Skalnik et Larkin Miller.
La série de spectacles qui ont suivi illustrait l’éclectisme, la qualité et la diversité de la programmation ayant fait la réputation du FASS : le jeune chorégraphe Jera Wolfe, a présenté Begin Again en plus de deux créations en primeur : Petrichor et Ruminate.
La Compagnie Marie Chouinard a déployé toutes ses couleurs dans un florilège de solos et de duos puisés dans son vaste répertoire.
Citadel + Compagnie (anciennement Coleman Lemieux et Compagnie) est revenue sous notre chapiteau avec un émouvant duo formé de la danseuse étoile Evelyn Hart et Zhenya Cernacov, qui a interprété Four Old Legs de James Kudelka.
Pour la première fois depuis la pandémie, Guillaume Côté est remonté sur scène et a offert en primeur au public québécois la première création de sa compagnie, Côté Danse, +(dix), inspirée par la mythique odyssée d’Ulysse qui mit 10 ans à retrouver sa patrie et les siens.
La violoniste virtuose Angèle Dubeau a effectué un retour en force au FASS en compagnie des 12 brillantes musiciennes de La Pietà.
Renouant avec notre public qui les a toujours accueillis avec enthousiasme, Les Grands Ballets canadiens ont clôturé le festival en beauté avec un programme mixte.
Du côté virtuel, le festival a soutenu la réalisation de quatre films jumelant des danseurs à des artistes œuvrant dans d’autres domaines afin de provoquer des collaborations inusitées. Signés Ben Shirinian, les films de la série En Tandem ont associé le contre-ténor Daniel Taylor et l’artiste multidisciplinaire colombienne Andrea Peña; la poète et chanteuse innue Natasha Kanapé Fontaine et le chorégraphe d’origine métisse Jera Wolfe; le chœur Jireh Gospel Choir et le danseur Frédérick Gravel. Guillaume Côté fut jumelé à l’Orchestre Métropolitain sous la direction de Yannick Nézet-Séguin et au designer Yso South.
FASS Forward, la première édition du festival international compétitif de courts métrages valorisant la danse fut instituée ainsi que la première FASS Dance battle, qui a attiré un public enthousiaste.
Dans la forêt du parc Molson, Les Sentiers de la danse ont proposé deux parcours jalonnés de courtes prestations de danse et de musique, où le public a fait la rencontre du danseur urbain Crazy Smooth, de la danseuse contemporaine Claire Campbell de Kolarova Danse et du corniste Louis-Philippe Marsolais, de la chorégraphe Sara Harton accompagnée par la pianiste Anne-Marie Bernard, de François Richard de la compagnie Andrea Peña & Artists ainsi que des artistes performant du folklore urbain animé par Zeugma danse et des gigues de l’ensemble Mackinaw.
L’émotion était palpable de part et d’autre de la scène, les artistes étant aussi heureux et reconnaissants que le public de se retrouver enfin.
2020 : LA CRÉATIVITÉ TRIOMPHE DE L’ADVERSITÉ
Précédées d’entrevues de Guillaume Côté et Yannick Nézet-Séguin avec les artistes, les vidéos permettent au public de suivre leur démarche, partager leurs réflexions et constater que l’imagination n’est jamais en quarantaine. Dévoilés hebdomadairement entre le 5 juillet et le 6 septembre 2020, les films furent diffusés gratuitement sur le site Web du Festival, YouTube et Facebook, dans cet ordre:
- SUR LA LAME, chorégraphié par Marie Chouinard sur la musique de Louis Dufort, interprété par la danseuse Valeria Galluccio et le percussionniste Alexandre Lavoie.
- ESPACES VITAUX, chorégraphié et dansé par Anne Plamondon, sur la musique de Cléo Palacio-Quintin, interprétée au trombone par Patrice Richer.
- INNER DIALOGUE, chorégraphié et dansé par Eva Kolarova, sur la musique de Maggie Ayotte, interprétée au cor par Louis-Philippe Marsolais.
- SOLITUDE, chorégraphié et dansé par Margie Gillis, sur la musique de Marie-Pierre Brasset, interprétée par l’altiste Elvira Misbakhova.
- LE VOL DE L’ÉPERVIER, chorégraphié et dansé par Vanesa G.R. Montoya, sur la musique de François-Hugues Leclair, interprétée au cor anglais par Mélanie Harel.
- DÉFIER L’ABSENCE, chorégraphié par Virginie Brunelle sur la musique de Roozbeh Tabandeh, interprété par la danseuse Sophie Breton et la violoniste Marcelle Mallette.
- PROMENADE, chorégraphié et dansé par Crazy Smooth, sur la musique de Marc Hyland, interprétée par le clarinettiste Simon Aldrich.
- APPEL / ÉVEIL AU SOMMET, chorégraphié et dansé par Andrew Skeels, sur la musique d’Isabelle Panneton, interprétée par le trompettiste Stéphane Beaulac.
- TRY-FIXER, chorégraphié par Daina Ashbee, sur la musique d’Alejandra Odgers, interprété par le danseur Benjamin Kamino et la flûtiste Caroline Séguin.
- ÉCHOS, chorégraphié et dansé par Guillaume Côté, sur la musique d’Éric Champagne, interprétée au piano par Yannick Nézet-Séguin.
Le corpus a été visionné plus de 200 000 fois, cimentant la réputation du FASS comme l’un des plus grands diffuseurs de danse au pays. Décerné par le Conseil québécois de la musique, le Prix Opus du diffuseur spécialisé de l’année a couronné les efforts déployés par le Festival pour triompher de l’adversité par l’innovation, soutenir les artistes et faire rayonner l’originalité et la vitalité de la création québécoise ici et dans le monde entier. Le rayonnement international d’Une solitude partagée se poursuit : Espaces Vitaux fut demi-finaliste au Paris Play Film Festival 2020; Défier l’absence a été sélectionné pour l’édition 2021 du Jacksonville Dance Film Festival et Appel / Éveil au sommet a été sélectionné par le Los Angeles Experimental, Dance & Music Film Festival.
2019 : LE FESTIVAL GRANDIT ENCORE !
La programmation du 28e Festival des Arts de Saint-Sauveur s’est déroulée dans l’émotion et la diversité, avec un lot de premières, de rencontres artistiques et de retrouvailles avec de grands artistes.
Le festival a débuté avec l’énergie fracassante de Dorrance Dance, compagnie new-yorkaise acclamée qui, sous la direction de Michelle Dorrance, redéfinit l’art de la claquette contemporaine. Les chorégraphes féminines furent également à l’honneur avec la soirée Plamondon – Barbuto – Kiel ; Anne Plamondon nous a offert le duo Counter Cantor, créé avec Emma Portner. La création de Gioconda Barbuto, Vis-à-vis, fut présentée en première mondiale et Hanna Kiel a présenté un extrait de sa pièce Resonance.
La première mondiale de la toute dernière création multimédia de Guillaume Côté, Crypto, fut présentée à guichets fermés lors de deux soirées, portée par des danseurs exceptionnels dont Guillaume Côté, Matt Foley, Greta Hodgkinson et Drew Jacoby. De retour à Saint-Sauveur pour célébrer son 25e anniversaire, Complexions Contemporary Ballet a soulevé l’assistance avec un programme musical contrasté intitulé From Bach to Bowie, en hommage à Johann Sebastian Bach et David Bowie.
Cette édition mit en lumière la création autochtone avec la présentation de la pièce Trace de Jera Wolf interprétée par la compagnie ontarienne Red Sky Performance. En complément à cette performance, des ateliers de médiation culturelle liés aux Premières Nations ont eu lieu sur la scène extérieure du Festival et dans les sentiers forestiers.
La musique classique fut en vedette, notre grand chapiteau ayant accueilli l’Orchestre Métropolitain sous la direction de Nicolas Ellis, et Les Violons du Roy. La scène extérieure fut le lieu de rassemblement pour des ateliers participatifs et des spectacles dansants de différents styles, animés par Radio-Tango, Studio 88 Swing, Fin de Fiesta Flamenco, É.T.É. musique Trad et Kawandak accompagné par Barbara Diabo.
2018 : ANNÉE RECORD !
L’édition 2018 s’est amorcée par une première historique : deux présentations d’un ballet intégral! Le public est tombé amoureux du Roméo et Juliette d’Edwaard Liang, servi par les interprètes du BalletMet auxquel se sont joints des danseurs des Laurentides. Saint-Sauveur fut la seule escale québécoise de la tournée du 50e anniversaire de Toronto Dance Theatre, venu présenter un florilège des chorégraphies de Christopher House, intitulé House Mix, démontrant pourquoi cette compagnie se démarque depuis des décennies. Maestro Yannick Nézet-Séguin nous a fait l’honneur de diriger l’Orchestre Métropolitain dans un programme consacré à Tchaïkovski. La voix de Ravid Kahalani et l’énergie de Yemen Blues ont enlevé les spectateurs avec des musiques du Moyen-Orient, à la croisée des grooves ancestraux, du blues, de l’afro-funk et du jazz. Pour tendre un pont entre musique et danse, nous avons demandé à trois chorégraphes émergentes montréalaises, Vanesa G.R. Montoya, Eva Kolarova et Kyra Jean Green, de créer des œuvres sur des chansons du groupe.
La dynamique Hubbard Street Dance Chicago a livré un programme éclectique et audacieux, servi par huit fabuleux danseurs, dans des œuvres signées Nacho Duato, Alejandro Cerrudo et Robyn Mineko Williams. Certains des plus grands noms de la scène classique actuelle ont brillé de tous leurs feux en nous offrant des morceaux de bravoure lors des Soirées des Étoiles : Tiler Peck et Roman Mejia du New York City Ballet, Laura Fernandez et Xander Parish du Ballet du Mariinsky, Victoria Jaiani et Fabrice Calmels du Joffrey Ballet, Greta Hodgkinson et Harrison James du Ballet national du Canada ainsi qu’Anna Ishii, Mai Kono, Matthew Cluff et André Santos, des Grands Ballets Canadiens. Entouré de danseurs du Ballet national du Canada, l’éblouissant et charismatique Guillaume Côté nous a offert en primeur sa création Hamlet Redux, en plus de créer in situ et d’interpréter le solo Une douce souffrance; le public l’a également vu danser avec Greta Hodgkinson l’émouvant Pas de deux de l’été, extrait des Quatre saisons de James Kudelka, dont une autre oeuvre complétait le programme, The Man in Black, un hommage touchant à Johnny Cash. Notre scène extérieure a accueilli Radiotango, Studio 88 Swing et La R’voyure qui ont stimulé la participation du public afin que tout le monde puisse entrer dans la danse.
2017 : UNE PROGRAMMATION AUDACIEUSE
La programmation audacieuse élaborée par le directeur artistique, Guillaume Côté, a offert au public du Festival des Arts de Saint-Sauveur un vaste éventail d’artistes œuvrant dans différents genres et styles, afin de lui faire vivre une expérience culturelle riche, sous le thème de la diversité. La formation musicale Moon vs Sun, composée de Raine Maida et Chantal Kreviazuk, a ouvert le Festival accompagnée par de jeunes chorégraphes émergents (Vanesa G.R. Montoya, Eva Kolarova et Ethan Colangelo). Par la suite, la compagnie torontoise, ProArtedanza a offert un doublé renversant. La performance de haute voltige à laquelle se sont livrés les 12 danseurs algériens de la compagnie Hervé Koubi a ébloui l’assistance. L’Orchestre Métropolitain est revenu pour une 3e année consécutive, permettant au public de découvrir un jeune chef prometteur, Nicolas Ellis. Le programme éclectique proposé par le directeur de L.A. Dance Project, Benjamin Millepied, a séduit les amateurs de danse contemporaine, et Les Grands Ballets ont effectué un retour émouvant et fort apprécié sur la scène du FASS après 15 ans d’absence. Une soirée de premières a mis en lumière les talents de deux jeunes compagnies montréalaises : Skeels Danse et Tentacle Tribe. Pour clore le Festival, les très attendues Soirées des étoiles ont offert au public des morceaux de bravoure servis par des danseurs extraordinaires, sensibles et généreux, dont les performances étincelantes resteront en mémoire : Friedemann Vogel, Guillaume Côté, Heather Ogden, Daniel Ulbrich, Danielle Diniz, Calley Skalnik, Laurynas Vejalis, Matt Foley et Drew Jacoby.
2016 : 25E ANNIVERSAIRE DU FASS
Pour le 25e anniversaire du festival, Guillaume Côté a signé une programmation étincelante et diversifiée où les figures marquantes de la danse d’ici et d’ailleurs ont croisé une relève talentueuse. Sous le Grand Chapiteau, le spectacle de préouverture mettait en vedette une enfant de Saint-Sauveur devenue star internationale, Martha Wainwright, entourée de jeunes chorégraphes montréalais signant des œuvres inspirées de ses chansons : Vanesa Garcia, Véronique Giasson, Sara Harton et Andrew Skeels. Passion, tendresse et folie imprégnaient les spectacles de la flamboyante Soledad Barrio & Noche Flamenca, la dernière création du fougueux Bryan Arias (A rather lovely thing) et la première apparition sur une scène québécoise de la réputée L-E-V Company d’Israël (OCD Love). Sous la direction de Yannick Nézet-Séguin, l’Orchestre Métropolitain a régalé les mélomanes d’oeuvres de Smetana et Dvorák. Guillaume Côté a présenté deux coups de coeur de son répertoire chorégraphique, Bolero et Dance Me to the End of Love, servis par les formidables danseurs du Ballet National du Canada, en plus d’interpréter avec sa partenaire Heather Ogden un pas de deux commandé au premier danseur de l’American Ballet Theatre, Marcelo Gomes, et un solo de La Belle au bois dormant signé Rudolf Nureyev. Le Festival a accueilli une icône de la danse contemporaine québécoise, Louise Lecavalier, dont la première chorégraphie, So Blue, a remporté un immense succès. L’édition s’est conclue dans l’éblouissement d’une pluie d’Étoiles offrant en primeur au public québécois la chance de voir danser la légendaire Misty Copeland accompagnée de Blaine Hoven (American Ballet Theatre), Yuhui Choe et Nehemiah Kish (The Royal Ballet), Jurgita Dronina, Naoya Ebe, Selene Guerrero Trujillo et Guillaume Côté (Ballet national du Canada) et de l’artiste indépendante Anne Plamondon. Sur la scène extérieure Desjardins, le public a pu découvrir Bouchardanse, [ZØGMA] Collectif de Folklore Urbain et une création in situ de la chorégraphe Caroline Laurin-Beaucage, Les Bouches Bées et leurs superbes harmonies vocales, le jazz progressif de 5 for Trio ainsi que la musique trad revitalisée par Les Poules À Colin.
2015 : GUILLAUME CÔTÉ À LA BARRE DU FESTIVAL
À la barre de son premier festival, Guillaume Côté a partagé ses goûts et ses découvertes avec le public du FASS. En préouverture, le FASS a accueilli Rufus Wainwright et sa famille pour une soirée que Saint-Sauveur n’oubliera pas de sitôt. L’Orchestre Métropolitain, dirigé par le jeune et dynamique Maestro Yannick Nézet-Séguin a complété le volet musical de la programmation. La compagnie Gauthier Dance // Dance Company Theaterhaus Stuttgart a effectué un 3e passage fort acclamé au FASS. Les Ballets Jazz de Montréal, Tentacle Tribe, Coleman Lemieux & compagnie, Stars of American Ballet ont enrichi le volet danse dont le point culminant sont les désormais légendaires soirées regroupant sur une même scène des étoiles internationales de ballet venues de divers pays. Le summum de la danse était représenté dans un florilège de pièces interprétées par Daniel Ulbricht (New York City Ballet), Skylar Brandt (American Ballet Theater), Bryan Arias (Kidd Pivot), Rachel Fallon (Luzerner Theater), Cesar Corrales et Kateryna Khaniukova (English National Ballet), Ana-Maria Lucaciu et Andrea Schermoly (artistes indépendantes), Davit Karapetyan (San Francisco Ballet) et Jurgita Dronina (Ballet national du Canada).
2014 : LE FASS FAIT UN GRAND BOND VERS L’AVANT
La programmation grandiose élaborée conjointement par Anik Bissonnette et Guillaume Côté – le directeur artistique entrant – a ébloui le public et suscité son enthousiasme, ainsi que celui des médias qui ont assisté en grand nombre aux magnifiques spectacles présentés sous notre Grand Chapiteau tout rénové. Le volet danse a mis en valeur les multiples facettes du talent de Guillaume Côté, accompagné d’artistes invités du Ballet national du Canada et de la compagnie ontarienne émergente Pro Arte Danza. La célèbre Martha Graham Dance Company et l’univers débridé de la Compagnie Marie Chouinard ont démontré au public du Festival ce qui a fait leur renommée mondiale. L’événement s’est conclu par l’éblouissant spectacle des étoiles internationales de ballet qui a réuni sur scène neuf fabuleux danseurs soient : Guillaume Coté et Greta Hodgkinson, ainsi que Francesco Gabriele Frola et Shaila D’Onofrio (Ballet national du Canada), Jason Reilly et Anna Osadcenko (Stuttgart Ballet), Joaquin De Luz (New York City Ballet), Misa Kuranaga (Boston Ballet) et Yukichi Hattori (Alberta Ballet). En musique, le FASS a reçu Ailyn Perez et Stephen Costello, l’énergique Montréal Jubilation Gospel Choir et l’orchestre de chambre Appassionata. Le FASS remporte pour une troisième fois le « Grand Prix du Tourisme des Laurentides » dans la catégorie Festivals et événements.
2013 : LA PROGRAMMATION DU FASS A ENCORE UNE FOIS ÉBLOUI LE PUBLIC!
La danse était à l’honneur dans la programmation de l’édition 2013 qui comptait sept soirées de danse et une soirée de musique. Le volet danse comprenait : Ballet BC, Aterballetto, Les Ballets Jazz de Montréal et le fameux Spectacle international qui a réuni sur une même scène les plus grands talents du monde de la danse avec un amalgame d’artistes réputés en provenance de la France (Benjamin Pech et Alice Renavand), du Danemark (Andreas Kaas et Ida Paretorius), des États-Unis (Herman Cornejo et Luciana Paris), de l’Ontario (Étienne Lavigne et Greta Hodgkinson) et du Québec (Louise Lecavalier et Keir Knight), a charmé les foules par sa diversité. Dans le volet musical, le Preservation Hall Jazz Band a littéralement fait courir les foules. Parallèlement à la programmation sous le Grand Chapiteau, le Festival a proposé encore cette année, une série de spectacles gratuits sur la scène extérieure Desjardins ainsi que la traditionnelle journée Tohu-Bohu destinée au public familial.
2012 : UNE ÉDITION SPECTACULAIRE!
Une impressionnante liste d’invités était à l’affiche de l’édition 2012 qui fit salles combles à plusieurs reprises. C’est le Hong Kong Ballet, en visite au Québec pour la première fois, qui a eu l’honneur d’ouvrir le Festival, suivi par la compagnie de danse québécoise Cas Public et la réputée Esmeralda Enrique Spanish Dance Company. Momix a remporté un succès aussi fort que lors de sa venue en 2007, tandis que le Trey McIntyre Project a profité de sa première canadienne pour offrir un spectacle de clôture remarqué. Le volet musique a proposé une programmation tout aussi appréciée avec de magnifiques concerts de Lewis Furey, Gino Quilico et de l’Institut canadien d’art vocal. La journée familiale Tohu-Bohu et les spectacles offerts gratuitement sur la scène extérieure ont également connu un grand succès. Le beau temps persistant et la qualité de la programmation auront contribué à rassembler dans le Parc Georges-Filion des foules importantes chaque soir.
2011 : 20E ANNIVERSAIRE DU FASS
L’année 2011 a marqué les 20 ans d’existence du Festival. Afin de célébrer cette édition toute spéciale, les organisateurs ont préparé une programmation artistique d’envergure. Le Aspen Santa Fe Ballet a donné le coup d’envoi du volet FASS Danse, suivi par 3e Étage, la troupe de solistes du Ballet de l’Opéra national de Paris, Gauthier Dance // Dance Company Theaterhaus Stuttgart, Stockholm 59° North et Bouge de là. Au FASS Musique, le public a eu droit à des prestations de la mezzo-soprano Joyce Didonato et des élèves de l’Institut canadien d’art vocal. Les spectacles et concerts offerts sur la scène extérieure ont attiré un nombre impressionnant de visiteurs à Saint-Sauveur, sans doute aussi séduits par une météo idéale. Le FASS se voit décerner le prix Mérite arts, culture et patrimoine par la MRC des Pays-d’en-Haut.
2010 : PROGRAMMATION DE GRANDE ENVERGURE
Le Festival des Arts de Saint-Sauveur a proposé une programmation de grande qualité. Pour une dernière fois sous la direction artistique du renommé Nacho Duato, la Compania Nacional de Danza 2 est montée deux soirs sur la scène du FASS. Alonzo King’s Lines Ballet complétait avec brio le volet FASS Danse avec le Royal Winnipeg Ballet qui présentait en primeur au FASS une avant-première de la pièce Wonderland. Pour la portion jeunesse, c’est la compagnie de danse québécoise Sursaut qui a été sélectionnée par notre directrice artistique, Anik Bissonnette. Le volet FASS Musique a connu lui aussi sa part de succès avec Angèle Dubeau et la Pietà, le Nouvel Opéra et le concert découverte de L’Institut Canadien d’Art Vocal présenté à l’église de Saint-Sauveur. Sur la scène extérieure, de nombreux spectacles gratuits ont fait le bonheur du public.
2009 : COUPS DE CŒUR ET PRIMEURS
C’est sous le signe de la couleur et de la diversité que s’est déroulée l’édition 2009 du FASS. Grâce à une programmation de qualité et à la présence d’artistes internationaux de haut niveau, l’événement a connu un immense succès tant auprès du public que des critiques. Un public nombreux a assisté aux différents spectacles sous chapiteau, tandis que les représentations sur la Scène extérieure Desjardins ont attiré des foules importantes. Le Ballet Biarritz, BMJ Danse Montréal et le Ballet Maribor ont fait vivre de grands moments de danse et d’émotions. Côté musique, Diane Dufresne et Oliver Jones ont offert de magnifiques et touchantes prestations. Dix jours de découvertes, de fête et de célébration ! Le FASS est lauréat au Grand prix de la culture des Laurentides.
2008 : UNE ÉDITION FASTE POUR LE FASS
Le FASS inaugure son volet Jeunesse avec la présentation de son Festival Tohu-Bohu. Au programme, des spectacles gratuits pour jeune public, des ateliers de danse ainsi que la prestation remarquée de la jeune chanteuse Sara Diamond accompagnée par plus de 40 jeunes interprètes de l’École Supérieure de Ballet Contemporain et du Jeune Ballet du Québec. La série danse continue d’épater avec deux premières nord-américaines : la Kibbutz Contemporary Dance Company d’Israël avec Ekodoom, et Six Pack de Gauthier Dance // Dance Company Theaterhaus Stuttgart, une compagnie établie en Allemagne et dirigée par le Québécois Éric Gauthier. Également, Cas public avec Suites Cruelles, Coleman Lemieux & Compagnie avec In Paradisum ainsi que Mimulus du Brésil avec la très colorée Dolorès. Le volet musique est résolument éclectique et rassemble le pianiste de jazz Oliver Jones, Les voix du Paradis sous la direction du contre-ténor Daniel Taylor et la première de la comédie musicale de Benoît L’Herbier et Robert Marien Le Petit Roy, inspirée des chansons de Jean-Pierre Ferland, en version concert. Enfin, le FASS remporte pour une deuxième année consécutive le « Grand Prix du Tourisme des Laurentides ». Une autre édition faste remplie de nouveautés et de surprises!
2007 : DE NOUVEAUX SOMMETS
Le FASS 2007 peut se résumer en un seul mot : « Complet! » L’événement bat des records d’assistance et de vente de billets et plusieurs spectacles sont présentés à guichets fermés. La programmation, regroupant le meilleur du Québec, du Canada et de l’international inclut Momix, Les Ballets Jazz de Montréal, RUBBERBANDance, Montréal Danse et le spectaculaire Carmen! présenté par l’Alberta Ballet. En musique, l’excellence est encore au rendez-vous avec Alain Lefèvre à l’Église de Saint-Sauveur, Oliver Jones et Nikki Yanofsky, ainsi que Daniel Taylor et Karina Gauvin sous le Grand Chapiteau. Le Festival développe aussi son programme de spectacles gratuits offerts sur la scène extérieure et présente un nouveau concept rassembleur avec les « Terrasses musicales ». Le FASS remporte le « Grand Prix du Tourisme des Laurentides » dans la catégorie Festivals et événements.
2006 : KYLIÁN LE GRAND EN PREMIÈRE MONDIALE
Pour la première fois de son histoire, le FASS coproduit et présente une création originale en danse: Kylián le grand, une œuvre hommage conçue par Anik Bissonnette et mise en scène par Mario Radacovsky. Offert en première mondiale à l’ouverture du Festival, le spectacle est une révélation et la très réputée critique en danse, Linde Howe-Beck le décrit comme « exceptionnel ». Présenté par la suite en tournée à travers le Québec et au Canada, Kylián le grand remporte un succès retentissant. À mentionner également, le Projet Kudelka de la compagnie de danse Coleman Lemieux & Compagnie, avec le contre-ténor Daniel Taylor en tête d’affiche, et le Ballet national du Canada avec le talentueux danseur québécois Guillaume Côté. Le volet musical est marqué par le retour de Robert Marien ainsi qu’une performance remplie d’énergie du Montréal Jubilation Gospel Choir.
2005 : L’ANNÉE DE LA CHINE
Les festivités débutent avec deux premières nord-américaines offertes par le Guangzhou Ballet, chef de file des compagnies chinoises, auxquelles assiste l’ambassadeur de Chine au Canada. La présence de plusieurs agents internationaux permet à la compagnie de signer de nombreuses ententes pour une tournée mondiale. Également venue de l’étranger, la Hubbard Street Dance Chicago est présentée sous le Grand Chapiteau tandis que du Québec et du Canada, Louise Lecavalier, Sylvain Lafortune – avec une chorégraphie d’Estelle Clareton – et l’avant-gardiste RUBBERBANDance mènent la danse. Au volet musical, on souligne le retour de l’Ensemble Amati et de l’orchestre de chambre I Musici de Montréal.
2004 : ANIK BISSONNETTE INTÈGRE LA DIRECTION ARTISTIQUE
En 2004, le FASS célèbre l’arrivée d’Anik Bissonnette O.C., C.M. au sein du comité artistique qui a programmé les meilleures compagnies américaines de l’heure : Ballet Internationale présente cinq danseurs médaillés d’or dans des concours internationaux et le Aspen Santa Fe Ballet offre un spectacle mémorable unissant la danse contemporaine à des chorégraphies de Moses Pendleton. Parmi les artistes québécois de renom : Margie Gillis et Gioconda Barbuto alors que le Jeune Ballet du Québec est présenté dans le cadre du volet jeunesse du FASS. En musique, le public a droit à un récital de Gino Quilico et à une soirée spéciale avec la Chicago Children’s Choir. À la fin de la Saison 2004, Anik Bissonnette est nommée officiellement directrice artistique du FASS.
2003 : DEUX PRIMEURS NORD-AMÉRICAINES
L’édition 2003 est marquée par la présentation de deux grandes primeurs nord-américaines : le Ballet du Théâtre national de Prague, sous la direction artistique de Petr Zuska, et la Compañía Nacional de Danza 2, dirigée par Nacho Duato. La soirée des Grands Solistes et Chorégraphes du Québec rassemble des danseurs étoiles et des chorégraphes réputés pour un spectacle exceptionnel. Le volet musical du FASS n’est pas en reste et propose les voix magnifiques du Québécois Robert Marien, de la chorale suisse Molto Cantabile, et de Pierrot Fournier qui interprète le meilleur de Jacques Brel.
2002 : ÉCLECTIQUE ET ÉLECTRIQUE
Le Festival 2002 reçoit sous son Grand Chapiteau les envolées du Harlem Gospel Choir, Les Sortilèges ainsi que la Parsons Dance Company, fort remarquée lors des célébrations du Millénaire sur Times Square, à New York. D’autres prestations de grande qualité marquent cette édition : Les solistes du Ballet national du Canada ainsi que le célèbre ensemble de tango de Romulo Larrea et Verónica Larc.
2001 : PRIMEUR CANADIENNE ET COUP DE CŒUR LOCAL
Le Festival crée l’événement en accueillant pour la première fois au Canada les Complexions de New York, un groupe de 22 danseurs étoiles des plus prestigieuses compagnies de danse moderne américaines. En musique, la présentation sous le Grand Chapiteau des célèbres sœurs Kate et Anna McGarrigle, de retour dans leur village natal, fait vibrer plus d’un spectateur. D’autres événements marquants incluent la participation de la Rambert Dance Company (Royaume-Uni), de la danseuse Andrea Bordman des Grands Ballets Canadiens ainsi que de l’orchestre de chambre I Musici de Montréal.
2000 : L’ÉVÉNEMENT CULTUREL DES LAURENTIDES
Le FASS salue l’arrivée du nouveau millénaire avec un programme jubilatoire : les solistes et premiers danseurs du Ballet national de Hongrie, le Ballet Jörgen, la présentation du premier solo de Louis Robitaille, le baryton Gino Quilico, les rencontres sur Broadway avec Robert Marien, Dance Galaxy et l’Orchestre national des jeunes du Canada. Nouvelle initiative, un programme pour enfants est instauré et présente, entre autres, le marionnettiste russe Vladimir Ageev. Pour la première fois, le Festival des Arts de Saint-Sauveur se voit remettre une mention spéciale du jury pour « l’Événement Culturel des Laurentides » aux Grands Prix du Tourisme des Laurentides.
1999 : ASSISTANCE RECORD POUR LA DIVINE
Désormais reconnu comme événement culturel majeur, le FASS atteint de nouveaux sommets avec un taux de participation inégalé alors qu’il accueille la nouvelle étoile montante Diana Vishneva – alias la Divine – avec le Ballet Kirov, José Greco II Flamenco Dance Company, la soprano Whilhelmina Fernandez, le Ballet national de Moravie-Silésie (République Tchèque), Les Ballets Jazz de Montréal, la comédienne et soprano Nathalie Choquette ainsi que Les Violons du Roy.
1998 : LE FASS, UNE « VALEUR À CONSIDÉRER », SELON LA PRESSE
Proclamé par les médias comme « valeur à considérer », le FASS prend de l’expansion et s’offre un tout nouveau chapiteau climatisé de 700 places. Côté danse, la programmation comprend les danseurs de renommée internationale du Saint-Pétersbourg Ballet Théâtre, du Ballet royal suédois et de Bande-à-Part. On présente aussi la première production des lauréats 1997 du Concours mixte de composition musicale pour la danse et de chorégraphie qui remporte une ovation ! En musique, le Montréal Jubilation Gospel Choir, Romulo Larrea, le quatuor québécois de musique tzigane Djelem (Sergei Trofanov, Anatoli Iakovenko, Sonya Sanscartier et Claude Simard) et Eval Manigat (d’origine haïtienne) répondent à l’invitation du FASS.
1997 : NOUVEAU NOM, MÊME TRADITION
Le Festival Hiawatha devient officiellement « Festival des Arts de Saint-Sauveur » en poursuivant sa mission et la même tradition d’excellence. Célébrée en grande pompe, cette édition inaugurale est fastueuse: 10 jours, 50 représentations, la participation de 175 artistes, plus de 15 000 visiteurs et plusieurs spectacles présentés à guichets fermés. Sous un grand chapiteau de 450 places, la Série Danse présente : le Royal Winnipeg Ballet, Danse Théâtre de Montréal et Celebration of Dance, qui réunit des solistes de grandes compagnies américaines. La Série Musique rassemble: The Canadian Brass, l’Orchestre Métropolitain, l’Ensemble Amati, Lhasa De Sela, Quartango, Raoul’s Klezmer et de petits ensembles classiques présentés à travers le village. Autre nouveauté à signaler : le premier « Concours international mixte de composition musicale pour la danse et de chorégraphie » est lancé.
1996 : UNE ANNÉE TRANSITOIRE
En pleine expansion, le Festival Hiawatha fait relâche le temps d’un été afin de s’installer dans le magnifique village de Saint-Sauveur-des-Monts. Ce nouveau site lui permet de jouir d’une équipe de bénévoles extraordinaires, d’un appui municipal important et d’une expertise technique de pointe, atouts de taille qui propulseront dès lors le Festival vers de nouveaux sommets.
1991-1995 : LA NAISSANCE D’UNE TRADITION
L’idée de présenter un Festival des Arts dans les Laurentides naît dans l’esprit de monsieur Lou Gordon, éminent homme d’affaires et passionné de danse, qui lance le Festival des Arts Hiawatha à l’été 1992. Cet événement inaugural dure trois semaines et met en scène plusieurs grands noms incluant Evelyn Hart du Royal Winnipeg Ballet, Shapiro & Smith Dance (de New York), Bande-à-Part avec Anik Bissonnette et Louis Robitaille, Montanaro Dance, Fiesta Flamenco et Margie Gillis. C’est le début d’une tradition d’excellence.
Au Programme

Scène Desjardins – Parc Georges-Filion
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